Je tweet, tu clavardes, il blogue : Les aléas juridiques de la communication électronique

Que ce soit par le biais de courriels, de textos, de microbillets (tweets) ou de commentaires affichés sur une page Facebook, un nombre croissant de Québécois communiquent quotidiennement à l’aide d’outils technologiques. Ces outils, du fait qu’ils offrent plus de flexibilité et de pérennité à nos échanges que le téléphone ou le papier, sont rapidement devenus l’un des principaux vecteurs de nos communications.

Étant soumis à l’influence d’une industrie de la sécurité bien souvent, à notre avis, portée à exagérer les risques afférents à l’utilisation de l’Internet, plusieurs considèrent toutefois ces modes de communication comme étant peu sécuritaires, voire dangereux.

Pour les avocats, lesquels utilisent ces mêmes technologies tant pour communiquer entre eux et avec leurs clients que pour obtenir des informations pouvant être déposées en preuve dans le cadre d’un litige, la question s’est même posée de savoir si le secret professionnel venait en quelque sorte prohiber l’utilisation de telles technologies lorsque des renseignements confidentiels se retrouvaient dans lesdites communications. […]

Ce contenu a été mis à jour le 23 août 2014 à 11 h 39 min.